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Myriam Riza était en couverture du 49e numéro de La Sultane, dans lequel elle avait répondu à nos questions. Une interview authentique qui nous avait laissé entrevoir l’étoffe de sa personne. C’est donc sans grande surprise que Myriam force à nouveau notre admiration, en toute humilité.

Aujourd’hui, de nombreux médias en Tunisie comme à l’Etranger, évoquent Miss Anaïs, son atelier de haute-couture qui s’est lancé bénévolement, sous son impulsion, dans la création de masques de protection, en suivant le modèle recommandé par les CHU français et  le cahier des charges fourni par la fédération de Textile.

Dès les premières heures de la crise sanitaire qui a touché notre pays, comme le reste de la planète, Myriam Riza a mobilisé son équipe de couturières et a commencé à fabriquer et à offrir des masques lavables tricouches (coton/ molleton/ coton) pour le personnel soignant. Jusqu’à nos jours, elle en a distribué 800 masques barrière qui ont couvert les besoins urgents des équipes des hôpitaux Razi, le service réanimation de Kassab, l’hôpital Charles Nicolle, le service de réanimation cardio de la Rabta et le service de dialyse de Makhtar.

« c’était pour moi naturel d’être solidaire en produisant des masques dans mon atelier, dès l’annonce des risques de propagation du virus, début mars. Dans un deuxième temps et pour pouvoir couvrir les charges et continuer le bénévolat, j’ai pensé à proposer des masques à la vente pour les particuliers, début avril. » précise-t-elle

Myriam Riza Rouissi nous a confié être optimiste pour les semaines à venir et nous confie: “je pense que nous allons vite dépasser la crise, surtout si nous suivons les directives et si nous restons solidaires. Je prépare d’ailleurs deux nouvelles collection dont une très spéciale, qui sortiront prochainement !”


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